Grande stature ( « double mètre »), charisme magnétique, allure martiale et regard déterminé : le président Mamady Doumbouya incarne la figure du chef d’État moderne, forgé à l’école de la rigueur militaire et nourri par les idéaux des grandes figures de l’Histoire.
À l’image de Charles de Gaulle ou du général Eisenhower, il s’inscrit dans la lignée de ces leaders d’exception qui, à des tournants cruciaux, ont pris en main le destin de leur nation.
Le général Doumbouya, c’est l’alliance de la noblesse de l’uniforme et de la sagesse ancestrale des fiers guerriers africains.
Il porte en lui la bravoure inflexible de Samory Touré, l’intrépidité de Zégbéla Togba Pivi, la sagesse d’Alpha Yaya Diallo et la détermination indomptable de Dinah Salifou.
Son parcours militaire, jalonné de distinctions et de missions d’envergure, l’a conduit de Conakry à Dakar, de Libreville à Paris, jusqu’à Tel-Aviv – un itinéraire qui témoigne d’une expérience stratégique rare et d’une vision mondiale du leadership.
Mais au-delà de l’homme de caserne, Mamady Doumbouya est devenu, en 2021, un homme d’État par excellence.
En prenant la tête de la Guinée dans une conjoncture critique, il a fait preuve d’un courage politique inégalable. Il a choisi la voie ardue du redressement, celle qui refuse les demi-mesures et les compromissions.
Le pays sortait de décennies d’instabilité chronique, gangrené par la corruption systémique, l’impunité, le clientélisme et l’effondrement progressif de ses structures étatiques. Dans ce chaos latent, il fallait une main ferme, une autorité morale, une figure capable de catalyser les aspirations profondes du peuple guinéen. Doumbouya a répondu présent.
Dès les premières heures de son mandat, il s’est attelé à la tâche, sans répit. Refusant la facilité des discours, il a privilégié l’action concrète.
Réformes institutionnelles profondes, relance des infrastructures, assainissement de l’administration publique, rationalisation des finances, lutte acharnée contre les détournements de fonds : la dynamique de refondation est enclenchée. Et elle est bien réelle.
Les résultats commencent à parler d’eux-mêmes. Le climat des affaires s’améliore, les investissements directs étrangers enregistrent une hausse notable, l’économie reprend des couleurs.
Selon le ministre de l’Économie, Mourana Soumah, la Guinée affiche aujourd’hui une croissance moyenne de 5,3 %. Une performance honorable dans un contexte mondial difficile.
Mais cette avancée ne doit rien au hasard. Elle est le fruit d’une volonté politique ferme, portée par un homme convaincu que la Guinée mérite mieux, que son peuple a droit à la dignité, à la prospérité, à un avenir serein. Doumbouya ne gouverne pas pour plaire, il gouverne pour bâtir. Il ne caresse pas dans le sens du poil, il réforme avec rigueur. Il ne promet pas, il agit.
Comme Paul Kagamé au Rwanda, Charles de Gaulle en France ou Abraham Lincoln aux États-Unis, Mamady Doumbouya incarne cette race rare de dirigeants qui apparaissent quand l’Histoire exige un tournant. À l’image de ces pères fondateurs, il s’impose comme un artisan infatigable de la renaissance guinéenne.
Sa gouvernance repose sur des principes clairs : intégrité, fermeté, inclusion, et vision. Ce n’est pas l’autoritarisme, mais une autorité assumée au service de l’intérêt général. Ce n’est pas un pouvoir capricieux, mais une mission historique. Il ne s’agit pas de gouverner pour régner, mais de gouverner pour transformer.
Avec lui, la Guinée change de paradigme. Elle se projette dans une nouvelle ère, celle d’un développement maîtrisé, d’une croissance inclusive et d’une souveraineté affirmée. Sous son impulsion, un Guinéen nouveau est en train de naître : plus engagé, plus conscient, plus solidaire.
Car un pays comme le nôtre n’a plus besoin de beaux discours, mais de bâtisseurs. Il lui faut une tête, comme le disait Charles de Gaulle, « en qui la nation puisse voir, au-dessus des fluctuations, l’homme en charge de l’essentiel et le garant de ses destinées ». Ce chef, c’est Mamady Doumbouya.
Il a eu l’audace de gouverner – cette audace qui fait les grands hommes et les grandes nations. Il est l’homme des actes forts, des décisions courageuses et des réformes profondes. Grâce à lui, c’est la Guinée dont nous avons tant rêvé qui prend enfin corps.
Alors, que les Guinéens se rassemblent, qu’ils unissent leurs forces autour de cet homme de devoir et de vision, ce prodige des temps modernes, digne héritier des pères des indépendances africaines.
Le vin du développement est en train d’être tiré. Et, très bientôt, nous le boirons tous, sous l’arbre à palabre, fièrement, dignement, et en paix.
WAID – Institute. West African Innovation and Development – Institute






